vendredi 11 octobre 2013

LE GNOSTICISME , UNE SCIENCE UNIVERSELLE



Les adeptes des religions ne peuvent embrasser la vérité, car ils n'aiment pas ce qu'ils sont, mais ce qu'ils ne sont pas. 

Étant gnostique depuis plus de 30 ans, et ayant lu dernièrement de nombreuses définitions écrites visiblement par des profanes qui ne connaissent ce mode de penser qu'à travers des auteurs non pratiquants, j'ai décidé d'écrire cet article, afin d'apporter quelques éclaircissements.
La gnose n'a pas la vocation de changer le monde, ni de s'en extraire. Mais de se changer soi-même, afin de mieux appréhender et de mieux comprendre le monde qui nous entoure.
La gnose est une science universelle qui n'est en aucun cas réservé au seul christianisme et qui est toujours d'actualité, contrairement aux apparences. Elle est basée avant tout, sur la connaissance et l'expérimentation de toutes choses. On parle de ce que l'on connaît, après l'avoir expérimenté ou vécu. Tout le reste n'est qu'un étalage de mots sans réalité, juste de la littérature.

Je n'ai jamais rencontré de sujet de discussion capable de faire démarrer les gens au quart de tour, que celui qui traite du Gnosticisme ; un sujet qui anime visiblement les curieux.
Je pense que c'est parce que les gnostiques mettent les intéressés face à leur conditionnement. Cependant, sans une telle confrontation, les personnes sont incapables de découvrir les limites de leur propre mental. Il est important de se désinhiber, afin d'ôter les couches de vérités erronées accumulées depuis des années et implantées en notre subconscient. Tout en sachant que ce n'est pas chose facile. Avant de se défaire de ses chaînes mentales, pour y voir plus clair ou percevoir la lumière ; il faut souvent des années, selon l'âge et la durée de l'endoctrinement avant de le bannir de sa mémoire définitivement. Mais on a rien sans rien. Cette épreuve est souvent crucifiante mais enrichissante et libératrice.


J'ai appris par expérience que Dieu est une énergie puissante et pensante. Une énergie agissante qui irradie en toute chose qu'elle soit ou non visible, féminine et/ou masculine. Androgyne, il est le père et la mère, l'un ne peut fonctionner sans l'autre, tout comme la lumière et les ténèbres. Et de ce fait, cette puissance est indéfinissable, et innommable. Elle existe : point. La physique quantique ne parle t-elle pas d'un univers auto-cohérent et intelligent.
Contrairement aux définitions qui constellent la toile, le gnosticisme ne s'est pas développé au II ème siècle ni au III ème. cette philosophie existait déjà, sauf que le nom a vu le jour au temps des premiers chrétiens. Par contre, il fut combattu à partir du II ème siècle, ce qui est totalement différent et révélateur, quant à la compréhension des textes lus. Socrate avait d'ailleurs une philosophie similaire et pourtant, il n'a jamais été perçu comme ayant été un gnostique. Mais l'on retrouve cette philosophie chez les initiés égyptiens.

LE PRÉNOM DE ''JÉSUS''
Le prénom de ''Jésus'' est rarement employé chez de nombreux gnostiques. Pourquoi ? - parce que ce n'est pas important, et ce n'est pas non plus son prénom. Araméen, il se nommait Ishoua, et en Arabe Issa ( le ''sh'' hébraïque devient S en Arabe).  Bref, c'est une question d'oreille, d'articulation et de prononciation.
Isaïe disait Emmanuel...
Par ailleurs, nombreux sont ceux qui doutent de son existence. Ce qui n'est pas impossible, tant l'Histoire fut falsifiée depuis 2000 ans, souvent par les religieux eux-mêmes. Comme il est possible que des petits génies aient fait certains amalgames avec d'autres prophètes talentueux, mais aussi avec des croyances Égyptiennes. Après tout, le fameux Jésus a vécu en Egypte au même titre que certains apôtres coptes.

Le titre ''Christ'' signifie ''messager, prophète" : celui qui transmet ou délivre un message spirituel ou inspiré, suite ou non à un enseignement reçu.
Le mot "prophète" désigne donc un maître de sagesse, un philosophe qui applique ce qu'il pense ou dit, après l'avoir expérimenté. C'est en cela que l'on reconnaît les grands maîtres et que nous les distinguons des philosophes de ''salon''. Qu'ils se nomment Jésus, Apollonius de Tyane, Socrate, Platon, etc..ils étaient toujours dotés de dons qui les différenciaient du commun des mortels selon les époques. Ils guérissaient aussi bien le corps que l'âme.
Jésus et Apollonius vivaient à la même époque.C'est ce qui me permet de penser qu'il y a eu juxtaposition des deux personnages pour les besoins d'une idéologie paulinienne.
Saint-Paul ayant d'ailleurs connu Apollonius qui était à l'époque très connu et réputé pour ses dons en Cappadoce comme à Rome. mais c'est une autre histoire.


LE CHEMIN DE LA CONNAISSANCE
Le terme gnostique vient du grec ''gnosis'' qui signifie "connaissance ", savoir. Et pour le savoir, il faut expérimenter. On ne devient pas un maître de sagesse en se contentant de répéter ce que l'on entend sans en comprendre le sens.
Jadis, la connaissance de l'univers était réservée aux seuls initiés. Non sans raison. Cela demandait dans un premier temps, une excellente mémoire, de la patience et du temps de libre. Faute d'écriture, le savoir se transmettait donc de bouche à oreille et de maître à élève. Cela prenait des années avant de pouvoir transmettre les connaissances, et donc certaines dispositions intellectuelles et une grande maîtrise de soi.

Par la suite, lorsque fut inventée l'écriture, il fallait savoir lire et écrire, ce qui autrefois, n'était pas non plus, chose facile si l'on n'était pas sédentarisé et si on n'était pas fortuné et désireux de se cultiver.
Les enseignements, par ailleurs, n'étaient pas gratuits.
Ce qui limitait le nombre des élèves intéressés par la connaissance qui englobait les sciences, les mathématiques, la musique, l'astronomie, mais aussi l'architecture, l'agronomie, également la physique, la connaissance de la faune et de la flore liés à la médecine...Seul Socrate en son temps, dispensait son enseignement gratuitement pour avoir des scribes qui prenaient des notes à sa place.

Au fil du temps, les prêtres qu'ils soient juifs ou chrétiens prirent conscience de l'importance de créer une caste d'initiés qui leur permettrait d'avoir un certain pouvoir sur le peuple et une certaine ascendance sur la jeunesse. Souvent dévoyés, ils pratiquaient le droit de cuissage. Ils se feront également entretenir grassement par la population qui pendant des siècles n'y verra que du feu, d'où la colère de Jésus, mais aussi des Esséniens.

Ce qui m'amène à penser que ''Marie-Myriam'' tomba enceinte à 13 ans, non par miracle, mais suite à l'abus calculé d'un prêtre issu de son clan qu'elle connaissait de près ou de loin. Ce genre de pratique chez les juifs était déjà monnaie courante et perdure toujours de nos jours. Pour eux, l'inceste fait parti de l'éducation. C'est une excuse qui cache ainsi bien des vices. Les arabes ayant hérité de cette pratique ont choisi de les épouser en bas âge. Quant aux catholiques, ils préfèrent s'adonner à la pédophilie sur de jeunes mineurs ou de violer des nones. Le sexe ne semble pas avoir de frontière !

Jadis chez les juifs comme chez les arabes, les filles étaient perçues comme une marchandise que l'on commandait dés la naissance ou promettait à des veufs ou de vieux garçons. Jésus et ses apôtres connaissaient cette pratique. Cela peut expliquer sa volonté de protéger les femmes, n'acceptant pas ce genre d'archaïsme et de droit illégitime. Et pour ces femmes, un homme doté d'une telle morale et d'un tel charisme ne pouvait être que le sauveur de ces dames. Un révolutionnaire qui allait remettre la morale au goût du jour, et de l'ordre au sein du temple.
C'est ce respect des femmes et de la justice, qui lui a valu d'être aimé et divinisé. Il était devenu malgré lui, le Dieu des femmes qui suivaient ses prêches bien plus que les hommes. Ce qui était déjà à l'époque révolutionnaire et loin d'être du goût des prêtres.



LE GNOSTICISME N'A PAS DE DÉFINITION PROPRE
Le gnosticisme ne se définie pas, il est multiple. Tolérant, il accueille en son sein toutes les formes de pensées, sans les juger tout en essayant de les comprendre et ceci quelque soit la religion du croyant. Multiple et varié, il est indéfinissable et inclassable.
Être gnostique, c'est bannir toute hypocrisie : c'est dire et faire ce que l'on pense, sans se soucier des réactions de l'autre si ce n'est de nous informer sur son niveau intellectuel.
C'est être soi, sans tricher, sans se voiler la face et peu importe ce que l'autre pense de nous. C'est être capable de différencier le bien du mal, en analysant les faits, sans prendre parti pour qui que ce soit. C'est connaître ses limites et les accepter. C'est cela, la conscience. Commence par te connaître avant de juger ton prochain, si tu veux connaître ton prochain mais aussi Dieu. Socrate avait déjà découvert cette réalité. Il l'appliquait et l'enseignait au quotidien. Pour cela, seules les expériences, nous permettent de découvrir notre véritable personnalité et de nous dévoiler sans craindre que le ciel nous tombe un jour sur la tête ou d'être jugés par des personnes incultes.

Être en accord avec soi, c'est être capable de faire ce que l'on dit et non faire le contraire ou de ne pas le faire. Ce qui est malheureusement souvent le cas. Les gens parlent à tort et à travers et face à un gnostique, leur comportement est du pain béni. Les gnostiques expérimentent également en observant les autres et, en les mettant en situation face à leurs contradictions.

La gnose ne demande pas un niveau intellectuel particulier, c'est un enseignement qui demande une grande ouverture d'esprit et où nous laissons parler son cœur afin de permettre à l'enfant divin ou intérieur de s'exprimer et de se réaliser sans chercher à contrecarrer sa pensée émise.
La gnose, c'est apprendre à reconnaître et à se défaire de concepts erronés ou incohérents, des fausses vérités, d'ouvrir les yeux afin d'accepter la réalité aussi douloureuse qu'elle soit.
Libre à soi d'aller vers la lumière ou de rester dans les ténèbres. Il faut juste savoir que cela demande du temps, de la patience, des années d'études, de recherches, et d'expérimentations avant de se débarrasser de ses fausses croyances et d'éviter de s'en remettre à de faux prophètes, avant d'être libéré de ses chaînes, de ses limites, de ses tabous et de ses peurs multiples. Apollonios de Tyane, Jésus, Bouddha,..., et tous les prophètes, étaient des gnostiques par excellence. Ils avaient atteint un haut niveau spirituel. C'est pourquoi, ils ne craignaient aucunement, le regard des autres ni la mort.

Les gnostiques se consacrent souvent à l'étude de textes ou de message délivrés par des maîtres en  se gardant bien de les aduler, de les glorifier ou d'en faire un dieu. Ils s'efforcent de comprendre leurs enseignements, d'en retenir le meilleur, de les intégrer, de les expérimenter, afin d'en vérifier la véracité  avant de les appliquer à eux-mêmes. Car ce qui est bon pour l'un, ne l'est pas obligatoirement pour l'autre : c'est une question de niveau de conscience et d'acquis.

C'est en cela, que les gnostiques différent des prêtres de l'église, mais également de toute autre religion. Ils perdent leur temps à glorifier un homme, après lui avoir infligé mille souffrances, en oubliant totalement le contenu de son message, ses valeurs et ses préceptes. Et bien sûr, ils ont oublié de les appliquer sur eux-mêmes dénaturant ainsi la vérité. Tout en imposant leurs dogmes et leur vision par la force ou les armes si nécessaire sauf pour le bouddhisme, convaincus de sauver des âmes en perdition en oubliant de se sauver eux-mêmes.
Un comportement ambiguë qui dénote d'une méconnaissance absolue  des enseignements des grands maîtres. Écartant, comme Irénée à Lyon, tout enseignement qui va à l'encontre des doctrines adoptées pour des raisons avant tout politique. Ce qui est une hérésie en soi.


QU'EST CE QUE LE GNOSTICISME ?
Le gnosticisme n'est pas une religion, et le gnostique n'est pas un prêtre. C'est un analyste, un chercheur, un penseur universel, rebelle à toute domination et toutes manipulations mentales qui appui là où cela fait mal.
Les gnostiques affichaient jadis simplement leurs différences d'opinion face aux Chrétiens primitifs qui débattaient sur la valeur des Évangiles choisis par l'Église, sur l'identité de Jésus, ou encore des doctrines formulées par Paul et Jean...comme sur la mort de Jésus.
Il est certain que les discussions sur l'existence véritable de Jésus et sur la véracité de son message étaient des sujets de débat chez les gnostiques, qui permit au fil des ans au Christianisme de se construire et d'émerger sous la plume de Paul et de Jean. Si ce sujet a toujours fait courir les foules en quête de vérité, il n'y avait pas que cela.

LES GNOSTIQUES SONT DE LIBRES PENSEURS
Libres penseurs, ils sont inclassables, insaisissables et c'est bien ce qui agace les érudits qui perdent leur temps à vouloir les classer et si possible les ficher. Quant aux profanes, ils pensent que le gnostique est passif, voir en marge du monde, ce qui est absolument faux. C'est d'ailleurs, ce qui explique des définitions souvent alambiquées, au point que nous-mêmes, nous avons du mal à nous y retrouver.
Des gnostiques croient en un dieu créateur des mondes assis sur son nuage, et d'autres sont plus scientifiques. Ou encore en un dieu parfait, d'autres en un dieu imparfait ou démiurge. Certains croient en un dieu passif, quant d'autres pensent qu'il est actif.
Chaque personne est une partie de l'édifice divin ordonné qui règne sur un multivers parfaitement calculé et orchestré. Et porter un jugement sur l'une de ces parties, en revient en somme à juger Dieu. C'est s'imaginer être supérieur à lui, en le croyant  imparfait. La beauté et la perfection son juste des mots subjectifs. Il me suffit de contempler la nature, pour le croire parfait pour avoir réussi dans le moindre détail sa création. Dieu est avant tout un physicien, un mathématicien, un astronome, et un artiste. Il est une énergie en perpétuelle mouvement, en perpétuelle action.

LES FEMMES ET LES GNOSTIQUES
Les gnostiques n'ont jamais accepté que des hommes incultes condamnent des femmes et leur descendance à l'enfer éternel, parce que la première d'entre elles, Eve, aurait osé manger une malheureuse pomme. Comment peut-on continuer à diffuser de telles inepties et humilier les femmes au travers de religions tordues.
Comment peut-on interdire à une femme d'être plus intelligente que son homologue masculin, en muselant son intelligence si ce n'est dans le but d'en faire un être futile, une esclave ou une bête de somme. Là encore c'est priver l'énergie divine de l'une de ses deux forces : féminine-masculine ou positive-négative. C'est le priver du droit d'exister et de briller. Comment peut-on prétendre que la lumière fut, sans ces deux forces complémentaires, en sachant que dieu lui même est neutre ?

Pour un gnostique, comme pour de nombreux prophètes, les femmes et les hommes sont égaux. Renier la femme, c'est renier la partie féminine-positive de Dieu. C'est renier Isis, mère porteuse de vie, c'est renier sa propre existence. Ce qui est tout aussi incohérent qu' inconcevable. Le soleil et la Lune sont un couple indissociable et immuable. Ils sont indispensables à l'équilibre de la vie, qui ne peut être privée ni de l'un, ni de l'autre. Les premiers Égyptiens avaient déjà compris cette évidence sensée sauter aux yeux.



LES TEXTES DE NAG-HAMMADI
Les textes de Nag Hammadi ne vous apprendrons rien sur l'histoire de cette science et sur ses traditions, car pour les gnostiques cela n'est d'aucun intérêt spirituel.
Quant aux auteurs qui aimeraient tout savoir sans expérimenter, ils s'appuient essentiellement sur des textes agnostiques, pour obtenir des informations et en général sur des textes comme celui d'Irénée de Lyon qui écrira "Contre les hérésies" au IIème siècle.
Essayer de s'informer en se servant uniquement de  textes anciens dont la vérité est douteuse ou falsifiée, me semble un peu léger, d'autant plus que cela ressemble davantage à des campagnes de dénigrement, diabolisant toutes personnes qui refusaient de se soumettre à la volonté de quelques esprits réducteurs, mystificateurs, et dominateurs, pour qui la science et l'expérimentation étaient des inventions diaboliques produites par des esprits dérangés ou possédés.


DIEU N'A NUL BESOIN DE MESSAGER
Dieu n'est il pas vanté comme étant, omniprésent, omnipotent et omniscient ? Faut il un langage spécifique, un traducteur particulier, pour s'adresser à un dieu sensé lire dans notre âme et comprendre notre langue ?.
Ceci pour dire, que tout ce folklore n'a aucune réalité, ni aucune valeur en soi et ne changera rien à notre destinée. Et dieu ne se révélera jamais, aux crétins qui se contentent d'absorber les âneries sans chercher à savoir par l'expérience, si cela est vrai. Et ceci même s'ils se cognent mille fois la tête contre un mur ou sur des pavés.
Il n'y a point besoin d'intermédiaire ou de messager, pour que dieu nous reconnaisse. Il est certe,comme toute énergie, muet et invisible aux profanes, mais il est loin d'être insensible aux vibrations qui viennent du cœur et de mantras. Il manie avec maestria la loi du boomerang lorsqu'une goutte fait déborder son vase. Il faut se souvenir que tuer son prochain ou un animal sans être en danger, c'est porter atteinte à la vie, à Dieu, c'est réduire son énergie. Il pardonne, mais après avoir secoué sérieusement le pommier.

Je sais que toutes les routes mènent à Rome, mais faut-il encore trouver le chemin le plus court et le plus simple qui soit, afin de ne pas gaspiller notre énergie et nous bercer d'illusions, qui ne font que ralentir notre évolution ?. Par contre, si vous croyez en un dieu après avoir compris le sens et le fonctionnement de l'univers sans avoir besoin de tuteur, c'est que vous êtes déjà loin sur le chemin et, c'est tant mieux : Alléluia !. 


Peut-on croire que l'on peut crucifier Dieu ?
Ne foudroierait-il pas l'humanité d'un seul regard ou par sa seule présence ? N'est-ce pas écrit dans la Thora ?. Comment des humains peuvent-ils encore croire en un dieu incarné que l'on peut crucifier, et torturer sans être instantanément foudroyé. L'humanité n'est-elle pas encore aux portes de l'enfance pour croire en de telles fadaises ?. Elle n'est donc pas assez clairvoyante pour différencier les ténèbres de la lumière. Peut-on crucifier la lumière, où l'énergie sur une croix ?
Quant aux humains, un peu plus sensés, qui ont cessé de croire aux balivernes aveuglément pour s'être posés des questions face aux incohérences et aux falsifications, ils n'ont pas pour autant tout compris des réalités d'un monde qui leur est tout autant invisible qu'incompréhensible. Combien d'humains sommes nous à consacrer notre temps à la connaissance de soi, afin de connaitre Dieu ou de s'identifier à la source originelle ?

C'est cette grande misère morale, spirituelle et intellectuelle qui les égare, les rend dangereux et parfois irrécupérables. La gnose nous révèle qu'il nous suffit de respecter la vie dans sa globalité, et d'être en accord avec nous-mêmes, d'être honnête envers soi-mêmes, entre ce que l'on dit et ce que l'on fait, pour être reconnu par les ''Dieux réalisés'' qui nous ont précédé ces derniers millénaires. Cet accord est rarement pratiqué par les humains qui bien souvent mentent effrontément pour maintenir leur  pouvoir, en minimisant les faits ou en s'inventant des prétextes pour se déculpabiliser ou pour cacher leurs véritables intentions rarement désintéressées.
Peu importe que des hommes se trompent, s'ils appliquent en toute sincérité ce qu'ils disent, et qu'ils reconnaissent leurs propres erreurs, sans qu'ils se mortifient ou s'imaginent qu'ils seront jugés et condamnés. C'est à cela que l'on reconnaît qu'ils sont devenus GRANDS !


''Pour entendre battre  son cœur
et celui de la création,
 il faut pratiquer le silence.
C'est pour cela que Dieu se tait ''.










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En Inde à Jaspur, la découverte d'une créature mystérieuse ressemble curieusement à un jeune dinosaure. Cet animal a surpris le mili...